Bilan 5 ans :  » Macky Sall a sorti le Sénégal de la faillite »

 

  • Macky SALL - © Malick MBOW
    Macky SALL – © Malick MBOW

    Le 25 mars, 2017 «Pour la première fois dans l’histoire politique et économique de notre pays, le monde rural est au cœur des priorités. Ce qui n’a jamais été le cas depuis 57 ans d’indépendance. Quand le président Macky Sall était élu en 2012, à plus 60% des suffrages, notre pays n’allait pas très bien. Pour ne pas exagérer, je pense que le Sénégal était plus au bord de la faillite et de la banqueroute que du développement. Le président de la République a immédiatement fait le choix du courage et de l’humanité pour engager notre pays sur la voie de l’émergence», a déclaré Seydou Guèye, ce samedi, lors de la cérémonie commémorative des 5 ans de Macky Sall organisée par la Convergence des jeunesses républicaines.

Pour Seydou Guèye, « des avancées notoires ont été faites dans tous les domaines en 5 ans. En 2012, la croissance était de 2%. Aujourd’hui, elle est à 6,7%. Le taux de couverture maladie universelle est passé de 20% à à peu près 60%. Le système de solidarité qui était à 0% de ressource des droits à la solidarité en 2012 est aujourd’hui à peu près de 300 mille femmes qui bénéficient de la couverture maladie universelle. Avec le Pudc, le Sénégal, pour la première fois de son histoire, a mis le monde rural au cœur de ses priorités. Et ça c’est une conséquence de l’Acte 3 de la décentralisation qui a mis en place la communalisation intégrale et qui a élevé toutes les collectivités territoriales à la même dignité», se glorifie le porte-parole du gouvernement.

Selon  Seydou Guèye, les perspectives sont encore plus intéressantes. « Avec les récentes découvertes de pétrole et de gaz, les Sénégalais ont droit à rêver et à imaginer que l’émergence sera au rendez-vous peut être même avant la date qui a été indiquée. Il y’a des choses à parfaire, nous devons encore être plus présents sur le terrain de l’emploi des jeunes. Même si en 5 ans il y’a plus de 236.000 emplois qui ont été créés. Je parle d’emplois viables. 500 000 mille c’était pour les 7 ans et avec le phénomène d’accélération on ne sera pas loin. »

 

Auteur: Ndèye Fatou Ndiaye

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